Joothan est l’autobiographie d’Omprakash Valmiki, écrivain indien d’origine intouchable. La première partie de Joothan (littéralement « Les restes de nourriture »), publiée en 1997, eut un énorme retentissement et est actuellement inscrite sur la liste des ouvrages au programme d’universités indiennes. La seconde partie, rédigée alors que Valmiki venait de prendre sa retraite et consacrait tout son temps à l’étude, est parue en 2015 après la mort de l’auteur, qui intervint en novembre 2013.
Recueil de quatorze nouvelles évoquant les difficultés auxquelles sont confrontés les dalits, en ville ou à la campagne. Omprakash Valmiki est né en 1950 dans l’État de l’Uttar Pradesh dans une famille de la caste intouchable des balayeurs-éboueurs, et décédé en novembre 2013. Auteur engagé et figure majeure de la littérature en Inde, il est l’auteur de Joothan, autobiographie d’un intouchable, publié à L’Asiathèque.
Allant des chants des Sabbataires, au XVIe siècle, jusqu'à des auteurs du XXe, et mettant en évidence aussi bien le rôle capital d'une revue comme Nyugat ou d'un musicien comme Bartok, que l'apport d'un Madach, d'un Ady ou d'un Kosztolanyi, l'auteur, qui enseigne à l'Inalco, nous fait découvrir la conscience philosophique et littéraire hongroise.
Au Japon existe un art de bien vieillir, que l'écrivain a découvert à Ogura, un petit village niché dans la montagne non loin de Kyôto. Empruntant le regard et la voix d'une de ses habitantes, une vieille dame à la bienveillance et à la sagesse confondantes, l'auteur en a rapporté ces lettres, chroniques impressionnistes d'un pays où le temps paraît suspendu.
Un récit personnel qui sait subtilement mêler littérature et peinture de société par un spécialiste des cultures d’Asie.
Vie quotidienne, relations familiales et professionnelles, loisirs, histoire, langue et écriture : 17 thèmes pour appréhender la culture de la Corée du Sud, avec des références à des termes spécifiques de la langue coréenne.
À travers les épisodes dramatiques, pittoresques, ou franchement comiques, qui émaillent la rude existence des îliens et que Lim Chulwoo restitue ici avec une immense tendresse, c’est l’authenticité des relations humaines dans ces communautés villageoises isolées du monde moderne qui apparaît à l’évidence et nous touche infiniment.
Après une enfance à la fois rude et heureuse auprès de ses grands-parents sur l'île de Wando, au sud de la Corée, l'écrivain raconte son adolescence et son déménagement mal vécu dans un pauvre faubourg de Kwanju, sur le continent. Sa mère lutte pour les faire vivre, lui et ses deux sœurs dont l'une est handicapée mentale.
Un recueil de six nouvelles où les personnages voient leurs existences bouleversées par des situations ou des changements d'habitude impromptus.